A consommer avec modération Ratatouille, et un ptit Pastis
Petits riens, petits liens, gros plaisir.
Miam

La perversion est dans le détail

Samedi 8 Juin 2002

Je regardai mes logs web et les gens viennent encore. Alors que rien ne change: je travaille. Ca m'arrive.
J'ai fait un effort. Mais vous fatiguez pas à revenir avant un mois ou deux !

Des jouebs actifs, eux, pour une lecture quotidienne.

Daniel Schneidermann dans sa tribune revient sur un courriel de Alain Chaillou dans le courrier des lecteurs de la semaine précédente: National Cathodisme. Il conclut par:
Rien [n'oblige TF1] à rien, et personne n'oblige personne à regarder TF1.
Par contre, le service public devrait avoir des obligations, non ? Et on devrait pouvoir écouter RFI autrement que par le satellite si on n'a pas la chance de capter la bande FM parisienne (89.0 Mhz)?

J'ai mal au dos.
Comme à chaque fois que j'ai mal au dos, je me dis qu'il faut que je finisse une certaine nouvelle qui s'empoussière dans un des tiroirs de ma mémoire.
Mais je ne sais pas comment l'accoucher, cette nouvelle.
L'idée centrale c'est un couple redevenu deux personnes; elles vont voir ailleurs si l'herbe est moins chère.
Puis l'une a des problèmes et pense à l'autre. Et l'autre a mal au dos, se souvient des massages. L'autre cherche l'une.
Alors l'une et l'autre se retrouvent et le dos va mieux.
Mais il me manque un fil conducteur (la douleur du dos ?) et une fin.

Tribune Libre: ce livre réunit les témoignages et analyses des principaux ténors de l'informatique Libre, et aide à mieux comprendre son fonctionnement, les raisons de son succès et sa destinée probable. Pour la première fois dans l'histoire de l'édition, cet ouvrage bénéficie d'une traduction libre très proche du modèle de développement des logiciels libres, et notamment de Linux.

Netlex s'interroge sur le présent, le passé et l'avenir des blogs écrits en français.
MON modèle n'étant pas Andrew Sullivan, l'argumentation me passe un peu au dessus. J'ai déjà lu mes liens: c'est cela mon plaisir, ma récompense, mon salaire.
Le reste, le fait que je rende les liens (coups de coeur ou bouffées de haine) publics, c'est au choix selon les jours, une bonne action, de la propagande ou l'illusion de changer un peu à ma façon comment roule le monde. Plus un moyen d'avoir un site que Google respecte: j'utilise VOTRE confiance dans mon filtrage (à chaque lien de vous, Google considère reupp plus sympa) pour MON intêret, ce qui me permet d'influencer des liens quand j'en ai besoin.

Une nouvelle façon de s'informer ??? peut-être qu'on pourrait commencer par s'informer tout simplement, non ?

Sinon, juste pour approfondit deux-trois points sur Linux et Sourceforge qui m'ont chatouillé quand j'ai lu. (Clarifier les points... Règle 2 du bon joueb)
[...] surpris de constater qu'un site comme sourceforge.net qui regroupe les développeurs de logiciels libre, n'a pas d'équivalent dans d'autres domaines.
[...] A l'heure où les développeurs de LINUX viennent de s'unir pour rationaliser le développer de leurs logiciels,

Sourceforge est un reste de la bulle internet: c'est VALinux qui donne Sourceforge pour illustrer la puissance de ses serveurs et de son moteur (le programme qui permet à n'importe qui de faire un Sourceforge dans son entreprise).
Les engagés du Libre (ceux qui ont lu et compris la GPL) s'inquiète de la dérive de SourceForge. Savannah , auto-financée par la FSF, et BerliOS sont des alternatives.
En fait, je peine à voir ce que Sourceforge apporte vraiment de nouveau. De gratuit, je comprends mais de novateur, je ne comprends pas.
Parce qu'un PC avec CVS et son interface web, un gestionnaire de liste de diffusion avec archive web consultable, Bugzilla, la lettre hebdo d'avancement et un serveur FTP, le tout en ADSL, cela suffirait amplement pour la plupart des projets informatiques sur Sourceforge.
Comment appliquer de tels outils à d'autres domaines, je peine aussi à voir; les outils génériques de travail en groupe sur Internet existent déjà: Usenet, Wikis, listes de diffusion, sites FTP, publication facile sur la Toile. Prêts à servir.
Bref, qu'apporte tant Sourceforge qu'un équivalent autre que l'existant Internet soit nécessaire ?

Linux existe depuis 1991. Depuis ce temps ancestraux, il est développé par des volontaires assez unis et organisés, non ?

Version Longue: Financement du logiciel libre et financement de jouebs

Le précédent paragraphe faisant de moi un bloggeur techie donc avec des gouts musicaux de chiottes, je peux me permettre de vous conseiller, si vos oreilles s'ennuient, la BOF de Akira, la BOTV de 6FU, tout George Carlin, Natalie Merchant et Michael Franti. Plus Norah Jones, Shakira en español et Poppa Chubby et les Cowboy Junkies (classé en Country chez Amazon.fr... c'est normal, cela parle de cowboy).

DDM, le site de la Direction du Développement des Médias.

Thierry Roland, télé qu'en lui-même

Hier, dans une discussion, j'employai, en bon informaticien francophone, le verbe to scale. (mal)Heureusement au moins un de mes interlocuteurs ignorait le mot et je me retrouvai aussi sec dans l'impossibilité de trouver le verbe français correspondant au concept que je voulais exprimer.
Le dictionnaire dit: to scale
To alter according to a standard or by degrees; adjust in calculated amounts: scaled down their demands; scaled back the scheduled pay increase.
Mon usage était un écho du Linus doesn't scale
L'idée est que monter en puissance et augmenter sa cadence implique forcément d'atteindre sa limite intrisèque.
Par exemple, je suis capable de lire en deux heures un certain nombre d'articles et d'opinion en ligne(le RSS ca aide). Mais, parce que je n'ai que 24 heures, et un poil de vraie vie, je ne peux pas en lire beaucoup plus: ma méthodologie de lecture marche bien pour 50 ou 100 sites par jour, mais je ne peux pas en lire 100000. je scale pas !
Vous avez trouvé un mot pour cela ? Aidez-moi, parce que je cherche encore.
A propos Ce que je disais les semaines précédentes Réagissez
Site tournant au diesel
Joueb francophone