Petits riens, petits liens, gros plaisir.
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Ratatouille, et un ptit Pastis Petits riens, petits liens, gros plaisir. |
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Nouvelle dont je n'ai que le titre: Le fana du lien est il un amateur de bondage qui s'ignore ? Ou alors en chanson, je te lis, tu me lis, nous nous lions, rois de l'aphorisme.
En trollant dans les discussions de chez Chryde, j'ai découvert un joueb de plus Sakurazuka No Maboroshi v2.0 ou Listen to the color of your dreams....
Je m'interroge sur un éventuel Pacte Autobiographique ( cf Philippe Lejeune: un Autopacte) dans le cas des blogs... Je n'ai pas encore trouvé ma réponse, mais j'aurai le temps de réfléchir à ça ce week end. En attendant j'ai trouvé ceci, une critique du dernier essai de P.Lejeune Cher Ecran.Cela m'a interessé donc je voulais lier. Et ho surprise, pas de permanancre!
Creative Commons : une nouvelle approche de la propriété intellectuelle
Aux Etats-Unis comme en France, et dans de nombreux autres pays, une œuvre originale est en principe automatiquement protégée par le droit d'auteur, sans qu'il soit nécessaire de l'indiquer ou d'accomplir des formalités administratives. "Nous estimons que beaucoup d'artistes et de créateurs ne choisiraient pas ce 'copyright par défaut' s'il existait un mécanisme simple leur permettant de n'exercer que certains des droits que la loi leur confère, explique Molly Van Houweling, directrice de Creative Commons. S'ils en avaient la possibilité, beaucoup préféreraient partager leurs œuvres avec le public de façon moins restrictive."
La fonction thésaurale au coeur des systèmes d’information
C'est lorsque l'utilisateur ignore l'existence de l'information utile que l'accès à l'information devient coûteux et souvent aléatoire. Et ce, alors même que l'information est physiquement - électroniquement - très accessible.
Que changeriez-vous aux obligations de France 2 ?
Il y a une vraie réflexion à mener sur le concept de "culture" à la télévision. Je pense au spectacle vivant, comme l'opéra ou le théâtre. Actuellement, celui-ci ne compte dans nos obligations que s'il est filmé en présence du public. Mais de cette façon, le spectacle vivant se fait tuer par la télévision. Il faudrait pouvoir faire des aménagements, assouplir les conditions de tournage et adapter un peu le format pour qu'il puisse être aimé à la télévision. Je voudrais qu'à un moment, les gens réfléchissent en dehors des lobbys.
On pourrait aussi revoir les obligations de diffusion du cinéma. Aujourd'hui, France 2 ne peut pas diffuser des films le mercredi, le samedi ni le dimanche avant la première partie de soirée. Notamment parce que les distributeurs ont peur de la concurrence avec les salles. C'est une erreur, ce ne sont pas les mêmes personnes qui vont dans les salles et celles qui regardent la télévision. Nous pourrions éviter la confrontation avec TF1 le dimanche soir.
Lu dans Agenda, Alain Rémond n'est plus rédac-en-chef de Télérama.
Pour l'adaptation de to scale, on m'a soufflé tenir la charge, la cadence, la pression.
A la bibliothèque, je cherchai des livres sur Allende. Comme ils étaient tous a la réserve centrale et que la queue aux caisses était conséquente, je me suis rabattu sur Orwell ou l'horreur de la politique, de Simon Leys (aka Pierre Ryckmans). Une mine à .signatures:
Ce que les gens attendent d'un romancier à succès, c'est qu'il récrive indéfiniment le même livre. Ce qu'ils oublient, c'est qu'un homme qui pourrait écrire deux fois le même livre ne pourrait même pas lécrire une première fois.
Le premier effet de la pauvreté est de tuer la pensée(...) On n'échappe pas à l'argent du simple fait qu'on est sans argent.
Il ya des gens, comme les végétariens et les communistes, avec qui il est impossible de discuter.
La plupart des gens n'ont jamais l'occasion de voir leur sens moral inné mis à l'épreuve par l'exercice du pouvoir - en sorte qu'on est presque obligé de tirer cette conclusion cynique: les hommes ne sont décents que dans la mesure où ils sonts impuissants.
La plupart d'entre nous persistent à croire que tous les choix, et même les choix politiques se font entre le bien et le mal, et que du moment qu'une chose est nécessaire, elle doit aussi être bonne. Il nous faudrait, je pense, dépouiller cette croyance qui relève du jardin d'enfants. En politique, on ne peut jamais opter que pour un moindre mal, et il est des situations auxquelles on ne peut échapper qu'en agissant comme un démon ou un dément. La guerre, par exemple, est parfois nécessaire, mais elle ne saurait être ni bonne ni sensée (...). Quand vous avec à participer à ce genre d'entreprises - et je pense que vous devez y participer, à moins que vous n'en soyez dispensé par l'âge, la bêtises ou l'hypocrisie -, vous devez veiller jalousement à maintenir intacte une certaine part de vous-même.
Il est évident que l'âge du libre capitalisme touche à sa fin et qu'un pays après l'autre est en train d'adopter une économie centralisée que l'on peut appeler socialisme ou capitalisme d'Etat, comme on veut. Dans ce systeème, la liberté économique de l'individu et dans une large mesure sa liberté tout court - liberté d'agir, de choisir son travail, de circuler - disparaissent. ce n'est que tout récemment que l'on a commencé à entrevoir les implications de ce phénomène. PrIl est évident que l'âge du libre capitalisme touche à sa fin et qu'un pays après l'autre est en train d'adopter une économie centralisée que l'on peut appeler socialisme ou capitalisme d'Etat, comme on veut. Dans ce systeème, la liberté économique de l'individu et dans une large mesure sa liberté tout court - liberté d'agir, de choisir son travail, de circuler - disparaissent. ce n'est que tout récemment que l'on a commencé à entrevoir les implications de ce phénomène. Précédemment on n'avait jamais imanginé que la disparition de la liberté économique pourrait affecter la liberté intellectuelle. On pensait d'ordinaire que le socialisme était une sorte de libéralisme augmenté d'une morale. L'Etat allait prendre votre vie économique en charge et vous libérerait de la crainte de la pauvreté, du chômage, etc, mais il n'aurait nul besoin de s'immiscer dans votre vie intellectuelle privée. Maintenant la preuve a été faite que ces vues étaient fausses
A mon avis, rien n'a plus contribué à corrompre l'idéal originel du socialisme que cette croyance que la Russie serait un pays socialiste et que chaque initiative de ses dirigeants devrait être excusée, sinon imitée. Je suis convaincu que la destruction du mythe soviétique est essentielle si nous voulons relancer le mouvement socialiste.
Encore ? Hommage à la Catalogne . Et les plus connus La ferme des animaux et 1984
Le lion et la licorne doit a priori être dans Essais, articles, lettres, tome 2 (1940-1943).
La résistance de George Orwell est une rapide introduction aux idées et à l'oeuvre de Orwell.
GhostWorld: les dessins du journal intime sont de Sophie Crumb. Le blues moderne des Blues Hammer, Picking Cottong Blues, a été écrit spécialement pour le film par le réalisateur. Et des images de la bd. Tout cela appris parce que j'ai lu le générique. Et en plus, j'ai été récompensé par une dernière scène. Restez jusqu'au bout ! Y'a une surprise à la fin du générique.
