A consommer avec modération Ratatouille, et un ptit Pastis
Petits riens, petits liens, gros plaisir.
Miam

L'important, c'est de participer

Dimanche 23 Juin 2002

Ceci est un permalien qui fonctionne! Un grand sourire béat s'étale sur mon visage. Merci !

Une FIN, ironiquement via Karl
J'avoue que FIN me fascine presqu'autant qu'A SUIVRE. Baisser le store et se taire, pour mieux recommencer ailleurs, encore, semblable et différent, forément; la liberté du zéro-audience pour essayer de nouveaux jouets, un autre style. Pas avoir mon Richard Bachman à moi, mais presque. D'un autre côté, les archives c'est bien aussi, ne serait ce que pour me moquer. Et amonceler une masse informe qui prend petit à petit une forme non prévue au départ est aussi intriguant. J'hésite encore.

Vive le foot

J'ai commencé cette magnifique journée ensoleillée dans une salle toute noire, encore devant un écran à regarder Samourais. Je ne m'attendai pas à un grand film. Les acteurs sont un peu limités dans leur jeu, cela fait aussi partie du genre. Mais y'a de l'idée et donc j'ai bien aimé. Ne serait-ce que parce qu'un film d'action grand public avec le premier tiers en japonais sous-titré ne peut forcément pas être mauvais.

Le suivant c'était Blade II. Sans surprise. La salle commençait déjà à en avoir marre des pubs. Faut dire que 5 fois les mêmes 20 minutes de pubs, ça lasse.

China Strike Force est déjà sorti en DVD/VCD. Musica prend les commandes en ligne si aller dans le 13ème vous est impossible.

Un jeu de mot idiot, parce que l'attente me pesait:
devant les caisses, du monde; Murphy aidant, j'étais dans la longue queue (environ une soixantaine de personnes). J'ai compté 28 femmes. La queue d'à côté (une quarantaine de personnes) comptait seulement 19 femmes. Conclusion bien connue, les femmes préfèrent les longues queues.

Finalement j'ai eu mon billet pour l'Auberge espagnole (y'a même le dossier de presse). Le meilleur film de la journé. Vive l'Europe. Et Cécile de France.

Boby Lapointe, esthète de l'art

L'écriture de Boby Lapointe a des racines littéraires. Elle s'apparente, selon son biographe Jacques Perciot, à celle de l'Oulipo (Ouvroir de littérature potentielle) de Raymond Queneau et François le Lionnais, ainsi défini : "Les oulipiens sont des rats qui construisent eux-mêmes le labyrinthe dont ils se proposent de sortir." Le catalogue de ses "contraintes oulipiennes" impressionne : "Allitérations, assonances, contrepèteries - très rares dans la chanson -, calembours, homophonies. Les inventions de Boby Lapointe sont telles que parfois il n'existe plus de figure rhétorique pour identifier ses jeux de mots."

La gauche, telle qu'en elle même ? Heureusement M. Rocard fait entendre sa voix.

"Mme Lenoir a de très fortes convictions, mais qui ne sont pas des convictions socialistes".
"Elle était bienvenue parmi nous, à raison de ses talents et aussi de ses convictions, notamment européennes, poursuit M. Rocard. Elle a eu suffisamment de noblesse pour ne rien me demander ni nous demander, elle ne nous doit rien et n'a pas de comptes à nous rendre. Le respect très général qu'elle s'est acquis, par sa haute qualification juridique et par le constant souci qu'elle a de l'éthique sociale, constitue un plus qui profitera à la France entière dans les fonctions qu'elle exerce."

Et M. Barre s'en va, tranquillement.

Sinon, en version longue Templates dans un verre d'eau

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