Looking for the The Google Font? It is Catull, but found out more about the Google logo by reading the Google Font Page
Fancy reading my Spam collection ? It's even getting multilingual
Linux, Linux, Linux, Linux... want to try it ??? Knoppix is really nice. And easy. Download, burn, reboot. Et voila, Linux is running...
Les moteurs de recherche aiment bien les gros mots. Chaque fois que je case pute, bite, couille ou merde dans les titres, j'ai des hits. Les chercheurs aiment bien aussi la fonte utilisée pour le logo de Google, la traduction de Via Con Me... et à cause d'une erreur de ma part, certains arrivent ici en croyant que cela parle d'assembleur. Mais bon, ils repartent bien vite en se rendant compte que leur seul intérêt d'ici se trouve ailleurs, à un clic (tient, et si je déposai un brevet...).
Ce qui me fait bien sûr penser à George Carlin et ses sept gros mots qu'on ne peut pas dire à la télévision (aller lire aussi la page de Wikipedia Seven Dirty Words qui raconte l'aventure légale contre la FCC (les méchants de Pump Up the Volume, avec Harry la Trique)). Les septs mots en question sont plus ou moins traduits par merde, baise, con, suceur de bite, enculé de ta mère, et nichon. Faudrait que je m'attelle à une adaptation en français de certains de ses textes; je pense que c'est un pur plaisir de traducteur. Monsieur Carlin aime en effet les mots, les gros, les petits, les doux, les bons,... tous les mots. Un extrait, pour vous inciter à lire (ou encore mieux écouter) la V.O.
J'aime les mots. Je vous remercie d'écouter mes mots. Je veux vous dire quelque chose à propos des mots que j'estime important. Ils sont mon boulot, mon plaisir et ma passion.
Les mots, c'est tout ce que nous avons, en fait. Nous avons tous des pensées mais les pensées vont et viennent. Alors on attribue un mot à une pensée et on se retrouve coincé avec ce mot pour cette pensée... alors faites gaffe avec les mots.
J'aime à croire que les même mots qui blessent peuvent aussi guérir. Tout est affaire de comment on les choisit. Il y a des gens qui ne sont pas pour tous les mots: Ils voudraient qu'on n'utilise pas certains mots. Il y a 400 000 mots en anglais et il y en a sept qu'on ne peut pas dire à la télévision.
Quel rapport: 399 993 contre 7. Ils doivent vraiment être mauvais. Ils doivent être outrageux pour être mis à part d'un groupe aussi large.
Et vous, les 7: gros mots. C'est ce qu'on nous a dit qu'ils étaient, des gros mots donc des mauvais. Il n'y a pas de mauvais mot. Juste des mauvaises pensées. Juste des mauvaises intentions.
Et vous les connaissez les septs, hein ?
Merde, baise, con, suceur de bite, enculé de ta mère et nichon.
Les voilà les 7 méchants. Ces mots vont vous pourrir l'âme, briser votre colonne vertébrale et empêcher le pays de gagner la guerre.
Merde, baise, con, suceur de bite, enculé de ta mère et nichon.
Nichon n'appartient même pas à cette liste, vous savez! C'est un mot qui sonne si bien. On dirait un surnom. "Hé, Nichon, viens voir", "Nichon, je te présente Nana; Nana, Nichon, nichon, nana..." on dirait un truc à grignoter, vous trouvez pas ? ouais, je sais, c'en est un. Mais je ne parlai pas de sexe, je parlai genre Apéri-Nichon. Le nouveau Cracker Nichon. Le Nichon spécial au fromage. La pizz'nichon, la salade nichonçoise... Ouais, vous avez faim, hein ? Tout ça pour dire que nichon a rien à faire sur cette liste.
Et cela me fait aussi penser qu'il faut que je traduise Raymond Devos en anglais.
Pendant ce temps dans le monde...
Un lampadaire solaire pour surfer sans fil au Cameroun
Dans la nuit d'Afrique, des lampadaires éclairent la rue d'une ville grâce à l'énergie solaire accumulée pendant la journée. Chacun d'eux est équipé d'une borne qui fournit un accès à l'Internet sans fil et permet de recharger les téléphones portables. Ces pylônes sont reliés par ondes radio, grâce à des antennes, à un centre de contrôle qui surveille leur fonctionnement. Tel est le coeur du projet StarSight imaginé par deux jeunes Français, Yannick Gaillac et Christopher Huchon - cofondateurs à Londres de Kolam Partnership - et mis au point, à Singapour, par la société Nex-G Systems.
L'Afrique renoue avec une croissance forte etEssor rapide du téléphone mobile sur le continent et Le Sénégal en trompe l'oeil
L'immigration choisie, une fausse bonne idée
Outre que l'immigration choisie s'inscrit dans une véritable politique de dépeçage des pays sources compromettant leur développement, le principe relève d'une erreur d'appréciation : notre pays ne subit pas l'immigration ; au contraire, il en profite et en a besoin. Il ne s'agit pas là d'une énième considération philanthropique, mais d'une simple équation économique.
La République des idées : un atelier intellectuel
Passionnés par la société contemporaine et bardés de diplômes, ils rechignent cependant à se définir comme des "intellectuels". C'est que rien ne leur est plus étranger que le stéréotype de l'intellectuel à la française, généraliste et réputé touche-à-tout. De tous les qualificatifs, celui de "chercheur" est le seul qu'ils revendiquent, et c'est sans doute celui qui leur convient le mieux. A condition toutefois de ne pas imaginer ces spécialistes hyper-pointus cloîtrés dans leurs laboratoires mais, au contraire, désireux plus que jamais de débattre avec les "acteurs de terrain" et le public en général.
Mais bon, ils ne vont pas non plus jusqu'à avoir un weblog... sur la page [Les] Contacter / S'inscrire on peut lire:
Notre site est mis à jour régulièrement. Si vous voulez rester informés de nos activités, il suffit de nous envoyez un mail à XXX@XXX.XXX en nous indiquant votre e-mail
Et assurément les logiciels libres, c'est pas non plus une idée assez neuve: Le site internet de LA REPUBLIQUE DES IDEES est optimisé pour fonctionner avec Explorer 5.0, Acrobat Reader et avec la technologie Flash.
Quand l'Europe freine, l'OTAN accélère
Les Etats ont atteint aujourd'hui la limite de ce qu'ils pouvaient consentir s'agissant de la délégation de leur souveraineté à une entité supranationale. Pour dépasser ce blocage et envisager l'intégration croissante des armées européennes, il eût fallu l'autorité d'un ministre européen des affaires étrangères, que prévoyait le traité constitutionnel.
Le rêve européen confisqué, un long article qui décrit la perte de pouvoir de la France dans la construction de l'Europe: "Le problème de la France, c'est qu'elle change souvent d'idée fixe", raille l'eurodéputé UDF Jean-Louis Bourlanges.
Les 25 réunis en "conclave" peinent à relancer l'UE
Mais au-delà des questions d'appellation sur lesquelles la discussion n'a pas encore commencé, les 25 n'ont pas avancé sur la décision de fond : faut-il ou non renoncer au traité qu'ils ont mis trois ans à élaborer, et travailler à un nouveau texte ? "Si l'avenir du traité reste incertain, il l'était il le reste", a résumé la ministre française des Affaires européennes Catherine Colonna. "L'orientation est claire pour qu'on garde le processus ouvert, que rien ne soit fait qui porte atteinte au traité, ni à son avenir, ni à son contenu".
Mme Plassnik a confirmé que les 25 étaient prêts, pour répondre aux "préoccupations de nombreux citoyens européens", à durcir à l'avenir les conditions d'entrée dans l'UE, en mettant en avant la notion de "capacité d'absorption" de l'Union. Cette "capacité d'absorption" devrait être discutée lors du sommet de juin.
Michel Barnier: Et si on reparlait de l'Europe répond à Laurent Fabius Relancer l'Union européenne
Mais il déplaît à une certaine culture politique française, volontiers autocratique, de reconnaître que le chef de l'Etat lui-même doit discuter avec ses pairs. C'est pourtant la vérité. La réalité du pouvoir politique en France, de nos jours, est aussi d'aller siéger à Bruxelles.
Just for fun What is Plan B?
Non, des lendemains qui déchantent et La gauche du non déchante.. Sans déc' ? C'est une réalité, ou bien une illusion de ligne éditoriale du Monde pour l'anniversaire du non?
Le mouvement social contre le contrat première embauche (CPE) s'est traduit par un succès que le non de gauche ne peut pas revendiquer seul. Si étudiants et salariés se sont mobilisés contre une mesure d'essence libérale, la contestation, menée, dans l'unité, par les syndicats du oui comme par ceux du non, ne s'est pas politisée. Elle n'a pas tourné, l'extrême gauche ayant joué un rôle marginal, à la mise en cause globale du libéralisme.
Et M. Chouard a un article dans le Monde Sur le blog du héraut du non, le débat continue. Mais toujours pas de permalien sur son Journal d'Europe
N'est-il pas tenté de se porter candidat ? "J'y ai bien pensé, mais j'ai repoussé cette idée, répond le bloggeur. Si j'accède au pouvoir, ça va me transformer, me polluer, alors que pour l'instant, je suis libre."
Comme ils disent ici, la réalité est libérale.
Au passage, cela devrait répondre à Etienne, Etienne ! (prend le bien, comme chantait Guesch Patti )
A propos de réalité libérale, vous ai-je déjà écrit que j'ai fini la traduction de l'intervention de clôture de Stephen Colbert au diner des correspondants de la Maison Blanche ?
Voilà comment cela marche: le président prend des décisions. Il est le décideur. Le secrétaire chargé de la presse annonce ces décisions et vous, gens de la presse, notez ces décisions. Prendre, annoncer, noter. Passez vos notes au correcteur orthographique et rentrez à la maison. Réapprenez à connaitre votre famille. Faites l'amour à votre femme. Ecrivez le roman qui vous trotte dans la tête. Vous savez, celui du journaliste intrépide de Washington ayant le courage de faire face au pouvoir. Vous savez, de la fiction.
Marie-France Garaud, au bon souvenir de Jacques Chirac
On les admire [Pierre Juillet et Marie-France Garaud] . On les craint. On les déteste aussi parce qu'ils font et défont les carrières. "Mais Pierre [Juillet], dit-elle, avait une philosophie qu'il n'a jamais cessé de me redire : baissez la tête pour éviter les couteaux, levez les pieds pour franchir les pièges et riez. Et lorsque vous ne saurez pas de quoi rire, riez surtout de vous : c'est un sujet inépuisable." Marie-France Garaud rit donc d'elle-même. Mais aussi très volontiers des autres, surtout lorsqu'ils sont des adversaires.
CB News et son grand prix des médias 2006 : Huitième Edition récompense pour le Meilleur Site Média Ex Aequo le groupe Nouvel Observateur et Skyblog. Skyblog. Skyblog. Skyblog.
When people learn they don't drink or do drugs, the sober hipsters are asked questions that seem silly: "How do you do it?" "You must be so bored," "Why not?" And dumbest of all: "What do you do for fun?"
"I'm a fuckin' lame knitter," cracks Justine D.
Compare Content’s Divorce from Advertising (who gets the dough ?)
In the past, creative types have always worked for very little money: think of freelancers scraping together a living with feature article assignments or independent filmmakers maxing out their credit cards to make their first movie. In many or perhaps most creative fields it’s the same. The drive to create isn’t based on a desire for money. In the past people without the creative urge but with a drive for money have been able to skim off the cream from the work of creators. No longer. Now, content has filed for divorce from advertising.
with Re:Linux Games
For some strange reason, software developers enjoy giving away their work/time without expect anything in return, but please tell any decent designer, sound fx creator or graphics drawer to give away their time just "for fun" and you wont get really a lot.
So who's not talking to who ??
Finally, an (old) interview with Alexander A. Stepanov, inventor of STL and generic programming
I think that object orientedness is almost as much of a hoax as Artificial Intelligence. I have yet to see an interesting piece of code that comes from these OO people. In a sense, I am unfair to AI: I learned a lot of stuff from the MIT AI Lab crowd, they have done some really fundamental work: Bill Gosper's Hakmem is one of the best things for a programmer to read. AI might not have had a serious foundation, but it produced Gosper and Stallman (Emacs), Moses (Macsyma) and Sussman (Scheme, together with Guy Steele). I find OOP technically unsound. It attempts to decompose the world in terms of interfaces that vary on a single type. To deal with the real problems you need multisorted algebras - families of interfaces that span multiple types. I find OOP philosophically unsound. It claims that everything is an object. Even if it is true it is not very interesting - saying that everything is an object is saying nothing at all. I find OOP methodologically wrong. It starts with classes. It is as if mathematicians would start with axioms. You do not start with axioms - you start with proofs. Only when you have found a bunch of related proofs, can you come up with axioms. You end with axioms. The same thing is true in programming: you have to start with interesting algorithms. Only when you understand them well, can you come up with an interface that will let them work.